Ce WE, j’ai arpenté boulevards, avenues, places et esplanades de la capitale. Entre soleil tapant et touristes en pagaille, tout cela présentait un sympathique visage d’été précoce.
Hors sur la seule journée de Samedi, trois fois je me suis retrouvé nez à nez avec des connaissances (scolaires d’un côté et professionnelles de l’autre). Le soir même, alors que je me retrouvais un peu par hasard à fêter les fiançailles de deux parfaits inconnus, je tombe sur deux amis d’Evry et nous passons la soirée à discuter entre nous. Maintenant, chaque fois que je me promène dans Paris, je m’attends à rencontrer quelqu’un.
Pourtant, estimons que je connais quelques centaines de personnes suffisament pour que nous nous arrètions si nous nous croisons (surement moins si on ne compte que ceux succeptbles de se trouver à Paris). En se promènant quelques heures dans la capitale un jour ensoleillé je dois croiser quelques milliers de personnes (une fois encore, moins si on oublie les touristes de passage). Or la région parisienne compte quelques millions de résidents, j’en ai donc croisé en moyenne un parisien sur mille et mes connaissances représentent un parisien sur dix milles. J’ai donc une chance sur dix de croiser une connaissance en quelques heures sur Paris (pas la peine de s’appesantir sur l’exactitude des chiffres, c’est complétement au jugé! seule compte l’idée… 😉 Là j’en crois successivement trois d’un coup, la probabilité d’un tel événement tombe donc à un sur mille. Autant dire que j’ai eu énormément de chance ce Week-End! Tout ça doît encore être du à mon côté « people »…
En fait ces chiffres ne prennent pas du tout en compte le fait que je connais surtout des gens qui me ressemblent par leur âge, leurs d’études mais aussi par leurs habitudes et leurs comportements, et donc succeptibles d’avoir le même programme que moi pour occuper leur Week-End… Conditionné, moi?